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                                   "... une éloquence ciselée, une articulation détachée et sereine qui foudroie, nette et précise :
    l’emblème des Ardeo aujourd’hui."
     

    Alban Deags, Classiquenews.com, Septembre 2020


  • <Allemagne>

    Mancher mag auf den ersten Blick von einem gelungenen „Konzept-Album“ sprechen. Dem ist allerdings entschieden zu widersprechen; denn das Quatuor Ardeo („ich brenne“) eifert hier nicht einer hippen Idee nach, sondern steigt dank einer gelungenen Programmdramaturgie in die Tiefen der Musik. Mit dem so kargen wie rätselhaften Titel „XIII“ (13) verknüpfen die vier Musikerinnen die eingespielten Werke in einer artifiziellen, doch höchst instruktiven Zahlenmystik (...)
    Musikalisch ist das alles in einem geradezu fahlen, vielfach bewusst ohne Vibrato schwebend gehaltenen, gleichsam ent-erdeten, oftmals zerbrechlich anmutenden Ton gehalten, bei dem selbst die Durterz – wohl ganz im Sinne Schuberts – keineswegs die erlösende Auflichtung bedeutet. Und so gewinnt das „Rosamunde“-Quartett eine Tragik, die im scheinbar gelösten Finale einem verstörend den Hals zuschnüren kann (...)
    Michael Kube, neue musikzeitung HörBar #026, Février 2021
  • Décidément, la nostalgie (ou l’adoration ?) pour les temps reculés hante ce disque merveilleusement construit, dans une interprétation forte et, d’une certaine manière, mystique. On ne regrettera jamais d’avoir ce CD (physique) chez soi.
    Victoria Okada, Les disques classiques et lyriques de l'automne, Octobre 2020
  • <Allemagne>
    Die brandneue CD des Quatuor Ardeo mit der schlichten Bezeichnung XIII, also der römischen Ziffer für Dreizehn, ist mehr als ein sogenanntes Konzeptalbum. Denn die untergründigen Bezüge über Jahrhunderte hinweg zwischen Monteverdi, Purcell, Schubert und George Crumb sind äußerst subtil. Außerdem werden sie durch ein Musizieren beglaubigt, das nie nur schön, aber immer ungemein wahrhaftig klingt (...) 
    Klaus Kalchschmid, Süddeutsche Zeitung, Septembre 2020
  • (...) on ne peut que s’incliner devant leur engagement et leur performance dans Black Angels. À signaler une notice de luxe, signée Bernard Fournier (Klarthe K104).
    Simon Corley, Concertonet.com, Septembre 2020
  • (...)  L’engagement des interprètes (...) donne lieu à une version idéalement explosive de la partition que Crumb a livrée en 1970 comme un cocktail de références détournées pour marquer son opposition à la guerre du Vietnam. 
    Pierre Gervasoni, Le Monde, Septembre 2020
  • (...) ici c’est autre chose que nous propose le Quatuor Ardeo : une lecture expressionniste, presque violente dans ses accents, en tout cas passionnante de bout en bout. Un projet original et très réussi.
    Thierry Vagne, Musique classique & Co, Septembre 2020
  • <Luxembourg>
    The all-female quartet Ardeo (from the Latin « I burn ») leaves nothing to be desired in terms of intonation, homogeneity, balance, musicality and commitment. Details are worked out clearly, effects are avoided without the rhetoric suffering.

    Remy Franck, Pizzicato, Septembre 2020
  • Voilà donc un très très beau disque. Une leçon d’histoire de la musique ? Peut-être à en lire le livret très précis. Mais, ce que je retiens de l’écoute de ce disque, c’est sa cohérence, la maturité des interprétations et la profondeur de son message. L’homme face à la mort, aux prises avec des mondes douloureux, de l’infiniment petit et personnel, au plus immense et indicible. Ce disque s’écoute en fermant les yeux. Il est un sublime instant de réflexion sur la nature humaine.
    Anne-Sandrine Di Girolamo, gang-flow.com, Août 2020
  • « …(elles) ont développé un style individuel de dévouement absolu... » ; « …articulent avec précision et discernement… » ; « changements d’ambiance entre le drame tourmenté et des arrêts rêveurs... »
    Katharina von Glasenapp, Schwäbische Zeitung, septembre 2018
  • "Un travail sublime"
    Luis Suarez, Revista RITMO, septembre 2018
  • "Une version dans laquelle on redécouvre une œuvre que l'on croyait connaître par cœur. De nouvelles sonorités, de nouveaux timbres, de nouvelles voix... Une vraie réussite"
    Anne Voisin, France Musique, août 2018
  • <Allemagne>
    „So klingt Beethoven? Ernsthaft? Und ob. Die vier Frauen des Quatuor Ardeo spielen das Streichquartett Nr.16 F-Dur, op. 135, das letzte Werk, das der Komponist beendete, vor einem gefesselt lauschenden Publikum im Schütting, als sei’s tonale Avantgardemusik des 20. Jahrhunderts. Also genau im richtigen Duktus. Das viersätzige Werk erklang mit durchgängig humoristischen-verspielten Unterton, wunderbar herausgearbeitet wurden die kühne Motivverarbeitung, die Polyrhythmik, die ungewöhnlichen harmonischen Varianten und die …Akkordsprünge…heute ist man erstaunt wie beglückt über das kühne Experimentelle des Werkes, vor allem, wenn es in einer gleichzeitig so tiefsinnigen und konzentrierten wie ungemein spielfreudigen Interpretation durch das Quatuor Ardeo zu hören ist…“
    Iris Hetscher, Bremen, août 2018
  • "Un pur plaisir !"
    Claude Ledoux, août 2018
  • “le Quatuor Ardeo transcende les Variations Goldberg transcrites par François Meïmoun.”
    “Après ce parcours poétique quasi initiatique, triomphalement accueilli, les quatre musiciennes nous gratifient après l’entracte d’une tout aussi magnifique version de l’ultime quatuor de Beethoven, cet opus 135, (…) À n’en pas douter un très grand concert de quatuor à cordes !”
    Benedict Hévry, ResMusica, août 2018
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